Des tombes et des momies, c’aest Bahariya, autre oasis, à 400 km de Siwa,
qui va en livrer. En quantités industrielles. Les intéressés ne sont,
certes, pas aussi illustres que le Macédonien. D’aanonymes quidams. Au
mieux, des fonctionnaires locaux. Ces découvertes sont récentes et
sont encore l’éobjet d’aétudes scientifiques. Officiellement, on ne
peut, à l’éheure actuelle, rien voir ni visiter. Officiellement. Dans
un pays pareil, rien n’aest jamais impossible. Un responsable local
nous emmène sur un terrain en bordure du village. Au sol, des
structures en béton et en fer signalent la présence d’aexcavations. Une
petite porte s’aouvre, un escalier métallique s’aenfonce dans un puits
d’aune dizaine de mètres de profondeur. Une cavité permet d’aaccéder à
la salle hypostyle entourée d’aun corridor périphérique. Nous sommes
dans la tombe d’aAmunothep, fonctionnaire local de l’éépoque
pharaonique. Les parois sont intégralement couvertes de fresques et de
hiéroglyphes en excellent état de conservation. Cette découverte
archéologique serait due à la maladresse d’aun âne, paraît-il...
Bahariya est une oasis pourvue de sources d’aeaux sulfureuses. Y
prendre un bain est une expérience insolite, vu le cadre, la
température élevée et la densité de l’éeau. Nous recommandons le bain
nocturne, même si l’éair y est plutôt frais, car, de jour, la chaleur
risque d’aêtre pénible, et mesdames, n’aoublions pas que les bédouins
n’aont pas l’éhabitude de voir des nymphettes dénudées en pleine nature
et que certaines apparitions risqueraient de faire des émeutes. Nous
ne sommes pas à Sharm el Sheikh! Arrivons au vif du sujet. On ne vient
généralement pas à Bahariya (ou dans n’aimporte quelle autre oasis)
pour visiter l’éagglomérationet ses musées. Le but du voyage est
rappelons le, le désert. Rouler sur le sable doré, sur plusieurs
kilomètres. Au risque de s’aenliser (mieux vaut être en convoi) et de
se perdre (mieux vaut avoir une boussole). Au milieu de nulle part,
jaillissent des plaques d’aun blanc immaculé. De la neige. Non, pas
vraiment. Des rochers blancs en calcaire. Ils augmentent, deviennent
innombrables et prennent les formes les plus variées. Des champignons
par exemple. Dans cet incroyable décor, chaque brisede vent fait
disparaître la visibilité, pour quelques instants. On croit rêver.
Non. On ne rêve pas!
LE Désert BLANC, Rouler sur le sable
doré, sur plusieurs kilomètres. Au risque de s’aenliser (mieux vaut
être en convoi) et de se perdre (mieux vaut avoir une boussole). Au
milieu de nulle part, jaillissent des plaques d’aun blanc immaculé. De
la neige. Non, pas vraiment. Des rochers blancs en calcaire. Ils
augmentent, deviennent innombrables et prennent les formes les plus
variées. Des champignons par exemple. Dans cet incroyable décor,
chaque brise de vent fait disparaître la visibilité, pour quelques
instants. On croit rêver. Non. On ne rêve pas!
Bawiti est le village de loin le plus grand dans l'oasis de Bahariya avec environ 30.000 habitants. Le centre de ville est moderne, alors
qu'en dehors du centre sont des maisons de boue brique. Récemment, la
ville a reçu la pression considérable due à la trouvaille
(probablement d'une nécropole énorme le plus grand) des mères de l'ère
Gréco-romaine. Placez dans une bâche de dépression plus de 2000 carré.
kilomètre,
L'oasis de Bahariya est entourée par les collines noires composées de la quartzite et du
doloriste ferrugineux. La majeure partie des villages et de la terre
cultivée peut être regardée de 50m de hauteur à partir le dessus d'Al-Mi'ysrah,
on trouve aussi les dunes massives qui menacent d'engloutir .
Autrefois, pendant l'ère Pharaonique, L'oasis était un centre agricole
important aussi bien qu’aelle a été, célèbre dès le royaume moyen.
l'absence de la règle romaine et les tribus violentes dans le secteur
pendant le quatrième siècle ont causé un déclin parce qu’a une partie
de l'oasis a été reprise par le sable.